Big Bang

Poète est qui franchit la ligne d'Equateur
Sans n’en rien faire alors, d’autre que grande fête
Appelant l’alizée à vaincre la torpeur
D'un mortel pot-aux-noirs, voiles toutes défaites...

Car les vents renaîtront aux mondes parallèles
Où chante l'étranger d'autres cérémonies
Où d'autres voiles sont envoyées comme ailes
Et le rêve soudain surgira d'autres nids...

Voyageons à travers les ères en des aires
Qui peut-être, là-bas nous attendent déjà,
Nous comme unique grand voyageur millénaire:

Ce commun des mortels, serpent de mer nagea
Entre constellations et beaux imaginaires
Qu'un Créateur un soir, Big bang envisagea...


Pour vaincre le spleen des mers plates...

Attendant le retour de l'inspiration
À condition d'avoir embarqué, par exemple,
Foie gras et Bergerac pour l'imagination
On sortira du spleen le souffle le plus ample


Ecrit par CinquiemeVallee
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