À trop fumer...

Ah, peste soi de toi sous mon toi
qu'Il faut sans cesse abreuver de bois.
Et si comme gratitude tu t'enflammes
Pour réchauffer nos trop molles âmes,
Tu te moques de nous en crachant
Telle un énorme dragon fumant
Sa brume bien âcre et bien épaisse
Sans même pouvoir chauffer nos ... fesses.

Décision est prise, on t'abandonne !

Peut-être qu'un poêle qui ronronne...
Ou encore un soleil tropical...
Une simple présence amicale...




Ecrit par Pilar
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