Tristesse des deuils et brin de nature.

Dans les ruisseaux du vieux département des larmes d'or ruissellent sur les galets d'argent Le glas sonne pour cet être si chérement aimé...
Je suis là prés de la libellule insouciante ennivrée de joie à la vue du reflet azuré. La solitude m'étreint le vent effleure mes perles de sel, j'entends au loin les oiseaux s'égosiller ... Que vais je devenir sans lui ? et Elle qui maintenant a suivi . J'ai besoin d'un flot de paix pour apaiser ma tristesse, un souffle d'amour pour atteindre les sommets de la sérénité. Un être humain pour m'entourer de tendresse. L'instant présent et la beauté du torrent ne me suffisent plus à effacer les visages tant aimés, le poète qui valse si souvent au rytme de la nature est entrain d'agonir. la lune brille de mille éclats. Ma pensée wagabonde ... Je dois rentrer le temps seul fera son oeuvre.

Moment de tristesse après le départ de mes parents en 2006 . Je n'ai pas encore eu la chance d'être sereine malgré une vie pas si dure que cela. Pourtant la vie continue...
La vie est ainsi...

Ecrit par Feuilledor
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