En métro, la rejoindre

Les mornes vagues à l’âme parfumant le métro
Se noieront dans le flot des froissements de soie
Aux frissons enjoués qui brisent les chimères.
Tes ongles rutilants, en salvatrice lame,
Ranimeront la trame dans l’obscur enchainée.

La gloire des égos ritournelles trop mûres
Les lactescents Ipods aux nubiles rengaines
S’étoufferont dans ta chevelure enflammée
Où le vivant soleil jamais ne s’anémie.

Toujours scintillera dans tes yeux souriants
L’étoile intérieure, diamant étincelant.
-- Deviner les secrets des cils de l’âge d’or.


(sur un mode un peu allumé)

Ecrit par Louis
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