Pépone aboie encore...

Pépone aboie aux nuages honteux
Qui masquent de Sélène le visage
Et complotent pour imposer l'orage
Tandis que sifflent les canard boiteux ...

Dans la nuit de cette langueur d'étang
J'ai réclamé pour une fleur la grâce
Que nul ne sut obtenir d'un printemps
Ni même fête de l'Huma ma classe...

Pardon l'ami d'évoquer la menace
En tel sonnet peu fait pour dériver
Poème libre ou pas vers la grimace...

L'été pourri sa promesse a trahie
Aux ouvriers de détente privés ?
Face aux patrons t'as l'assaut thérapie !


Pépone, c'est mon Lhassa dans son varech...

Ecrit par CinquiemeVallee
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