La valse

Quelle charmante ivresse valser quelle euphorie
Quelle douce folie comme de vivre à Paris

Qu’on la danse pieds nus ou chaussée de cothurnes
La valse c’est comme l’amour c’est quand on s’abandonne
Quand deux bras vous emportent et que la tête vous tourne
Elle vous donne la grâce un visage de madone

Quelle charmante ivresse valser quelle euphorie
Quelle douce folie comme de vivre à Paris

Sur la piste de danse éclairée par des lustres
Vous prenez votre envol danser donne des ailes
Vous rejoignez l’espace ou les étoiles s’illustrent
Pour tourner tout comme elles pour briller tout comme elles

Quelle charmante ivresse valser quelle euphorie
Quelle douce folie comme de vivre à Paris

Le cœur comme à la foire sur des montagnes russes
Sur des vagues de musique vous prenez le virus
Pieds nus en escarpins prête à perdre l’équilibre
Vous découvrez la joie et la peur d’être libre

Quelle charmante ivresse valser quelle euphorie
Quelle douce folie comme de vivre à Paris

Alain




Ecrit par Recreation
Tous droits réservés ©
Lespoetes.net