Mes hommages, mon général

Ce Charles était un preux un écuyer d’honneur
Il avait un cœur grand était de haute taille
Il veillait au renom d’une France de rêves
Et vouait au pays un amour pur sans failles

La gloire de sa France assurait son bonheur
Il la gérait loyal sans user de faux droits
C‘était sa passion vraie et partial en bon père
Il aimait la guider à l'abri de son glaive
Agir peut-être tel à un dépositaire
Comme en ces temps anciens où lors régnaient des rois
Sans l'appui de partis de fabuleux galas
Ou d’idées utopiques et autres tralalas



Thème pour novembre 2009<br />
Alexandrins<br />
mes hommages, mon général<br />
<br />
In memoria Général Charles de Gaulle<br />
Poème lyrique en alexandrins<br />
Les Maissineries XI 20<br />
<br />
n.m. alexandrin (du Roman d'Alexandre, poème du XII e s.)<br />
Vers de douze syllabes, dans la poésie française:<br />
" Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ? "<br />
est un alexandrin de Racine.<br />
Remarque Quand il ne s'agit pas de poésie française,<br />
on dit un dodécasyllabe.Larousse Pratique. © 2005 Editions Larousse.<br />


Ecrit par Cepyge X
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