Ocre

Il me vient,
D’un
Passé ,
Un rêve
Allongé
Sur la
Pierre,
Couvrant
Le roc de
Signes à
L’ ocre rouge.
De l’extrême tension
De mes yeux fatigués, Il me vient,
D’un
Passé ,
Un rêve
Allongé
Sur la
Pierre,
Couvrant
Le roc de
Signes à
L’ ocre rouge.
De l’extrême tension
De mes yeux fatigués,
Eclairés d’une o flamme,
Et mes mains engourdies.
De cette pierre confuse naissait la vie.
Les bombés du rocher à la douce lueur
Vacillaient sous la course des cervidés,
Tremblaient sous la charge des bisons.
J ’étais les mains de l ’esprit
Le destin, le passé prisonnier,
De la matière
Jusqu’à la fin
Du Temps.

Eclairés d’une flamme,
Et mes mains engourdies.
De cette pierre confuse naissait la vie.
Les bombés du rocher à la douce lueur
Vacillaient sous la course des cervidés,
Tremblaient sous la charge des bisons.
J ’étais les mains de l ’esprit
Le destin, le passé prisonnier,
De la matière
Jusqu’à la fin
Du Temps.


Extraits du recueil "Les Cités de verre"

Ecrit par Joelkerdraon
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