A l'ombre d'un saule qui souriait







COMME les pétales imaginaires de la rose thé,
TU émerveilles de mes nuits les soleils bleutés.
ES-tu là ? Fragilité azur des jours fleuris de notre été.
BELLE, toujours, laissons de nos vies les amarres se détacher !
DOMI, ma nuit brumeuse et violine s'éclaire sous les lampadaires orangés.

QUAND tu souris, Tes lèvres écarlates attisent, de mes désirs, les doux secrets.
FERONS-nous un chemin douillet, irisé, couvert d'oeillets ? Je ne sais...
NOUS partirons ailleurs, l'imaginaire est de tes yeux, de moi si prés.
L'AMOUR ? En moi, il brûle de mille feux...suaves parfums d'éternité !


A celle qui ne me sourira plus jamais...

Ecrit par Christian111
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