Insolence
Le mystère de la pivoine aux joues rosies
Inquiète les cigales d’une aura frêle
Où se prelassent des coccinelles ebahies
Belles et coquines maitresses éternelles
La douceur d'un sentiment à la fraîcheur de la vérité
Subtilement exaucée au sourire du néant
S'elance en lame d'or sur la naïveté
D’une aquarelle en teintes aux orbes du temps
Vibre un air d'Adagio au fragrance de muguet
Quiétude en une nonchalance printanière
Et les campanules se dorent amusees
Sourire dans la magie qui opère
Dans chaque sourire, sérénité altière D'une saison en bandoulière
Insolence printanière en un détour de chemin
Ecrit par Colline
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