Parabole


Il n était encore un enfant
Quand son front la porte poussa
Et quand de lui surgit le vent
Ce fut le monde qui toussa

Aux cieux nombres d astres il vit
Au plus haut monter puis descendre
Dans cette courbe de la vie
Où toute étoile tend vers cendre

Il en compta autour de lui
Qui se voulurent vif oiseau
Bien que soit souple le roseau

Sa tige rompt au vent qui fuit
Il sut ses traits de même sorte
Puis de son poids poussa la porte.




Ecrit par JIM
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