Rhâââ

Promenade d'enfant au gré du firmament
La laisse de la plage émerveille ma vue
De toutes fois je mire une belle ingénue
Et me perds dans mes mots dans mes rêves d'antan

Ces quelques souvenirs me secouent tendrement
A qui ne sait haïr, à qui est toujours nu
Dure loi du mentir oh jamais ne m'a plu
Je suis simple d'esprit, je pleure simplement

Puis voilà qu'à tes pieds, à ta courbe obscur'
J'ai du mal à jouer, avouer mes désirs
Ecrivaillon j'étais sincèrement sûr

Car du ciel j'ai perdu cette femme enflammée
Ma Muse m'a quitté pour un autr', enculée !
Depuis j'erre et me gère en tendres devenirs


A personne, i'm nothing ;)

Ecrit par Christ
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