Dourduff

...Et le miel du soleil caressait nos visages,
Plus rien ne séparait nos rêves symbiotiques,
Genèse d'un sentiment, d'un espoir que l'on clame ?
Nous étions face à face, et nous étions silence.

Sur la table du jardin, face à la mer,
Nos ombres étaient bercées de nos folles espérances
... Pourtant nos coeurs étaient en cage...
Sur cette terrasse bleue, nous colorions nos âmes.

C'était comme une île, notre bonheur s'y échouait,
C'était en septembre et c'était là-bas
Tout là-bas où finit la terre...
Et le miel du soleil caressait nos visages.




Ecrit par Segal
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