Printemps aux antipodes





Les pommiers, sur la pente douce
Etaient en fleurs, c’était charmant !
C’est là que j’aperçus ma rousse
Ma rousse en pleurs c’était troublant…

Lors je lui dis, d’une voix douce :
Ma rousse en pleurs ? Que c’est troublant !
N’ayez pas peur je suis l’amant
Que vous pleurez depuis… mille ans !

Des nuages, la tendre mousse
Caresse délicatement,
De la lune ronde frimousse…
Ce soir est un ravissement !

Les fleurs du beau consentement
Nous rappellent notre bonheur…
Embrassons-nous donc tendrement,
Qu’au firmament cessent vos pleurs !


En automne je pars aux antipodes, là où "jamais" redevient "toujours"...<br />
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Texte du Léonard des antipodes , autrement dit, "Syzygie", Clair de Lune chanté sur le site de JMD que je salue.


Ecrit par Leonard
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