Bernardiennes

B ues aux commissures de ta couche
É treintes oasiennes et farouches
R egard d’une adolescence trémière
N ’était-ce point la grande destinée
A travers nos forêts rouges et fières
R appelées au son des stances innées
D ivines bien sûr car il est bon de l’être
I l est bien plus qu’il n’en peut paraître
E n ces mots extraits d’un coeur anonyme
N i la grande peur de l’humanité
N i le blâme cru d’un trait unanime
E n supposant que la féminité
S e retrouve seulement dans la rime




Ecrit par Georges roland
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