L'âme du boulanger
Le suprême abandon d’une femme grisée
Ondoyant de plaisir sous de tendres caresses.
Les lascives pressions repoussant les paresses
D’une glaise foulée en valse maîtrisée.
Les plaisirs enfantins d’un sable chaleureux
Filant entre les doigts tels d’improbables rêves.
Les souvenirs d’été de vacances trop brèves
Qui toujours aujourd’hui nous rendent si heureux.
Ainsi sont tes émois, Ô sobre boulanger
Lorsque seul au matin tu pétris et la vie,
Et l’amour du prochain en ta boulangerie.
Merci au grand Charles...
Ecrit par Godetia68
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