Doute

Les rivières de mon cœur
Furent parfois tourmentées.
C'est avec peur,
Que je m'en vais t'aimer.

Je ne pouvais plus y croire ;
Les vagues s'étaient arrêtées.
Elles avaient laissé place aux larmes noires
D'une existence anesthésiée.

Tout est à construire,
Et c'est là qu'est le Beau.
Face à nous un Empire,
Submergé par les eaux.




Ecrit par Aerospleen
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