Câlin

Deux corps allongés. Draps froissés.
Ses doigts enfouis dans mes cheveux.
Ma main posée au creux de sa hanche.
Chaleur des corps essoufflés. Moiteur de l'après.
Un sourire figé sur mes lèvres. Instant d'éternité.
Deux corps allongés. Apaisés.

Mais sa main glisse sur mon dos,
S'égare sur mes reins.
Frisson du corps qui se souvient.
Alors doucement,
Tendrement, je me rapproche,
Ondulation, je me colle, me frotte,
Ma main cherche et trouve...

Encore !!!




Ecrit par Nelly
Tous droits réservés ©
Lespoetes.net