L'infini
J'aime cette saison à nulle autre pareille
Et le moutonnement des collines au loin
Je songe au temps béni où tu tenais ma main
Où l'avenir pour nous semblait alors sans fin,
Mon beau, mon tendre amour
Qui m'a laissé sur terre
Toujours marchant vers toi que je ne puis rejoindre,
Scrutant l'éternité tout au bout du chemin...
Ecrit par Kallistea
Tous droits réservés ©