Très chère adulterine
Une douce chaleur envahit ta ruelle,
L'heure se fait de sommeil et d'amour calfeutré,
Mon esprit anticipe et pose des baisers
Sur ton corps alangui,prêt aux fêtes charnelles.
Je respire l'enivrant, Aphrodite est dans l'ombre
Je monte l'escalier qui me mène vers toi,
Je sais que tu m'attends, tout la-haut sous les toits,
Silhouette dénudée, lumière dans la pénombre.
Dans la joute amoureuse vont se meler nos corps
Et derrière tes volets, plus rien n'existera,
A l'instant de l'extase, me serrant dans tes bras,
Tu retiendras ma vie, en murmurant "encore"
Ecrit par Rerji
Tous droits réservés ©