Sangs

A l’aube encore pourpre en terrible destin

De tes amours voilés, de leur idées saignantes

Avenirs violés, toutes fois dérangeantes

A cracher sur ta pierre en ce destin sans fin



Je porterai ce verre au pouvoir du grain

Comme à ces avares aux lois obligeantes

Ceux-là que rien ne touche aux pensées affligeantes

Je chérirai la mort si ton cœur vit en vain



Dire « plus jamais çà » et laisser encore vivre

En ce sombre refrain qui te rend autant ivre

Cette chanson d’amour qui nous fait tant défaut



Les couleurs de tes maux changent la vie trop belle

Des regards du passé, des haines de « trop tôt »

Quand les mots se mélangent, quand la vie est réelle

Ecrit par Christ
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