D'un modeste terrien (Sonnet)

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Que peut-on admirer si ce n’est l’univers

Qu’on perçoit sur le vif, que l’on décrypte, invente,

Quand la nuit le permet, la clarté motivante

D’un été, porte ouverte, un bémol sur les verts.



Qui, de ciel, s’emplit l’être, occulte les revers,

Même d’une filante étoile, captivante,

Alors qu’elle se meurt, que sa trace, émouvante,

La relègue, à jamais, au jardin des hivers.



Agréments de la vie humaine, terre à terre,

Les cailloux du cosmos, brillant par son mystère,

Puissent-ils s’allumer longtemps, assidûment !



Pour cela, qu’entreprenne, au plus tôt, la toilette,

<i>L’homo natura</i>, vrai, de l’environnement,

Saccagé, sans respect pour apis, violette...





Le 24 janvier 2016.



Ecrit par Stapula
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