Clarté

Et où se perd le sable marin,

Notre vue se trouble peu à peu,

Dans l'immensité du corps bleu,



Un vaste océan plein de vie,

Une immensité remplie de vide,

Sans la vie d'un désert aride,

Sur la grandeur de nos envies,





Dans la pénombre bleue argentée,

S'égarent des nuits ensoleillées,

Par des étoiles illuminées,

A nos célestes plafonniers,





Mais nul ne peut envisager,

Ce qui derrière est caché,

Mais tout cela est enfin vain,

Car derrière,il n'y a rien.

Ecrit par Cedric
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