Au travers

Les branches du cèdre s'abandonnent

Aux lueurs cramoisies du soleil

Inspirant de nombreux vers en sommeil,

La nature au crépuscule n'a pas son pareil,



Les ramures languissantes vont survivrent

A l'hiver rude de froidure annoncée,

Et que deviendra l'homme en ces temps,

Il se couvrira, de couvertures prenant



L'attitude pouvant atteindre altitude

En rêvassant en rêves le dominant,

Quels en seront les nouveaux enchantements,



Sa plume divine nous le contera

Et on pourra à nouveau le commenter

Sur l'arpège des chants d'ici bas,

Sous la limite d'un ciel souligné

En présence d'étoiles au message imprimé!











Ecrit par Aurorefloreale
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