Toi mon chien, toi mon gardien
Toi mon chien, toi mon gardien
En ton regard , la vive alarme
En tes pattes jolie prestance
Vie de prévenances, constance
Confiance éperdue en étendue
Tu demandes caresses
Tu demandes tendresse
Douceur infinie de ta fourrure
Douceur infinie de par ton allure,
Un vent de glace sur banquise
Nous unit de sa froideur totale
Qui nous conduirait au létal,
Si nous n'avion prévenances
L'un envers l'autre en cette destinée
où l'on ne peut que sur nous compter,
La vie est une grande randonnée
En des glaciers gelés d'eau pure
Seule eau à pouvoir boire
Abandonnés au désespoir
De n'atteindre que l'illusoire...
Rêves éveillés sont seuls à portée
De cette mer de glace éparpillée,
Ce font nos prières
Glacés sont nos cœurs
Emois en porte à faux
Nous manquent couvertures de chaleur
Pour éloigner de nous, la peur de périr
Nous qui aspirons tant, à vivre
Baignés par la tendresse de douces caresses!
Ecrit par Aurorefloreale
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