Couchée de côté

couchée de côté la femme scrute le miroir
Avec un certain désespoir
Sa chute fuit au loin dans le tin
Et s'épaississent ses reins,
Elle est pensive
Et retrouve ses désirs,
Et les oublie en soupirs,
Le temps a posé son empreinte
Et changer son regard,
D'être nue , il se fait tard,
Un regard se pose sans retard,
Et une main présente pour caresser ses fesses,
Réveillent ses souvenirs endormis et ses sens,
La passion apporte tant de sens à l'existence.
aurorefloreale2019**






Ecrit par Aurorefloreale
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