C’est ma faute, pardon…

Vue de l’espace c’est n’importe qui
Un trou béant traversant l’atmosphère
Une grotte secrète cachée sous la poussière
D’un faux squelette accroché en bas

Couleurs sombres, comme la nuit entière
Orage, tempête, sinistre éon
Je cherche partout o, l’ombre d’une Lumière
En je ne vois pas, c’est bien ma faute, pardon…





Jacques AADLOV-DEVERS

Ecrit par Attention
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