Fumée du temps des cathédrales

A la perte de l’harmonie

Pour retrouver un bon moral

Faut aller sans cérémonie

Poser un rêve pictural

Dans ce lieu de sérénité

Où l’on peut sentir s’épancher

Un vieux parfum de vanité

Une odeur âcre de bûcher



Dans le mur de la cathédrale

Là haut, une belle fleur croit

Caché par la vigueur florale

L’oiseau est heureux tel un roi



Ecrit par Louis
Tous droits réservés ©