Revolution
par Haddock
Comme le vent souffle fort sur cette colline
Pour un ciel nuageux, marchent les goélands
Oisillons peureux et malheureux plein d'allant
Cherchant désespérément des yeux qui devinent
Piètres sont les bateaux venant dans leur halage
les pourritures des poissons peu cher pêché
La faim vient lentement après avoir jeûné
Pauvre matelot sans souvenir de leur âge
Comme il est aisé d'oublier que la famine
Des ailés et des paysans de la colline
Par le travail ont déversé les larmes rouges
Qu'une terre et qu'une mer plus jamais ne bougent
Par delà les hameaux et les châteaux dominent
Le peuple crie prenez garde la Mazarine
Emission postée le 15/04/22