Automne
par Guillaume APOLLINAIRE
Votre navigateur ne supporte pas le lecteur mp3.
par Floreal
Dans le brouillard s’en vont un paysan cagneux
Et son bœuf lentement dans le brouillard d’automne
Qui cache les hameaux pauvres et vergogneux
Et s’en allant là-bas le paysan chantonne
Une chanson d’amour et d’infidélité
Qui parle d’une bague et d’un cœur que l’on brise
Oh ! l’automne l’automne a fait mourir l’été
Dans le brouillard s’en vont deux silhouettes grises
Poème posté le 07/09/17
par Aurorefloreale
Ce poème a été vérifié et le contenu authentifié.
Poète
Ses autres poèmes
A la Santé
Les poètes
La nudité des fleurs...
O mon coeur j'ai connu
L’ensemble seul est parfait
Je suis soumis au chef du signe de l’automne
Si je mourais là-bas
Aquarelliste
Mai
Zone
La Loreley
Marie (*)
Le Voyageur
A travers l'Europe
L'émigrant de Landor Road
Je t'écris ô mon Lou
Clotilde
La jolie rousse
Les sapins
Automne
1909
Le dromadaire
L'adieu
A la santé
L'amour
Triptyque de l'homme
La fuite
La nuit rhénane
Mon très cher petit Lou
XXIII
Je suis au bord de l’océan
Les balles
Les Colchiques
Interprète
Ses autres interprétations
Ces riens
La nuit
Parfois le rêve
Le monde et nous
Tous ces rôles
Nous, les pauvres gens
Ce matin
Car chacun
Revenir à la simplicité
Plus capable
oh ! ce soir encore
Les mots
Oh! fuir
Le discours
Chanson d'automne
Trop différents
C'est la même chose
Le jardin
L'important
Le dromadaire
Épilogue (extrait)
Il y a un blocage
Ce n'est pas un éloignement
Penser autrement
Est-ce que, au moins
Automne
Et pour structurer
Vivre
L'anéantissement
Toutes nos interrogations
On se heurte
Prendre comme ça vient
Une fois découverte
On s'illusionne
Nos idées
Nous on est beaucoup plus
Il faut continuer
Le ciel
On revêt le geste
Et puis
On s'habitue
Avant on était