Quoi au lieu de l’ordre dieu naturel?
par Kiriyatskiy
par Kiriyatskiy
Vers de la supposition individuelle
d’Alexander Kiriyatskiy:
Quoi au lieu de l’Ordre Dieu naturel?
Des juifs, chrétiens et musulmans,
Dieu est ce rien. Son cosme géant
L’a opposé aux cultes dans
Nos expressions des Dons croyants.
L’idole dirige seul votre frère
Vrai pur. Menace du drôle enfer
Que nous croyons à ses chimères
Qu’on a créé tous l’Univers
«Il y a six mille d’années» au «bieN»
Pendant six jours… L’a fait sa main:
Son Globe Terrestre du gredin
Qu’elle cassera le monde sien
Statique et blanc comme un cristal.
L’esprit l’a dans son piédestal,
Où chaque samedi il dort: pas mal
Et trompe sans pudeur morale
Qu’aux fils cosmiques donne l’ours en chaînes.
Il veut que nos raisons s’éteignent.
Qu’avec «dieu» soit Soumis, enseigne:
«Fermons l’Entré d’ailleurs sans peine!»
Envoie l’œil noir aux créations
Des autres civilisations
Qui lisent: quoi songent?.. Vibration
D’aire, ton accent tire l’agression
Par toutes nos religions. Il ment
Qu’il a sculpté cette Terre avant
Vos jaunes Étoiles «creuses» sous son vent:
Pour endormir sur l’un «divan»?
À ses esclaves, il persuadait
Que ce mensonge peut aider
Après leurs morts, soit abordée
Sa foi qu’elle aille contre l’idée.
Ce n'est pas Dieu. Cet égrégore
Se cache de nos mesures d’abord.
Son pus ne mange que quels corps?
L’attend le châtiment d’un sort:
Comme au «Cinquième (vif) élément»
L’île, qui s’explose, dépend du temps.
Aux punitions tragiques, ses camps
Se perdent à leurs bulles des gammes.
Il est soufi que sa faiblesse
Brisait nos obtentions qui pressent
Son incendie par sa vitesse
D’évolution sans nulle tristesse,
Où l’égrégore ment que cette guerre
Attache vos pauvres à ta terre
Très radioactive avec l’hiver
Pendant l’époque sans atmosphère.
Mais Dieu réel, aux arts humains,
Découvre l’Infinie, amène
Ses âmes parfaites à Ce destin,
Sans cultes de l’autre chemin.
Et le trompeur d’exil, la bête
Essaie d’influer sur les planètes,
A réfugié des Trous Noirs Faîtes,
De Dieu. Toujours rêve des conquêtes.
Au temps, est né de la poussière
Astrale. Il rit sur ses frontières
Des siècles brefs, oblige l’aile fière
À s’incliner. Armée dernière
À ce menteur, l’abîme des mythes
Construit ses temples et ses gîtes
D’Égypte sous sept pyramides
Extraterrestres qui sont vides.
Ce Ra sait claire qu’il est mortel.
Éduque l’humanité fidèle.
Sans tradition devient sa grêle:
Hors sang et sans peurs éternelles.
Pendant millions d’années, les morts
Accomplissaient les hommes sans corps
Vers Absolu, cet égrégore
Ne nous criait jamais: «Non!», fort.
Neutralité de sa matière,
Tu as ta construction… Aux sphères,
La brèche de nos valeurs transfère
Tes changements: aux questions-ères
Qui sont finies dans leur physique.
En Dieu est sa longueur unique
Sans fin... Infinité pratique
Tous nos cadastres galactiques,
Où leurs futurs passés présents
S’unissent par Sa Fusion de rangs.
Tout d’Univers est, cependant,
Parfait en Dieu à tous ses champs.
Dans l’un point sont toutes les espaces
Comme l’un se trouve sur toutes les places
Cosmiques. Encore, Dieu les embrasse
Par soi à ses versions des masses.
Le mot limite ta bouche: «Mille a… »
Des verbes qui se gagnent. Voilà.
La goule rompait leurs buts par là:
Quelle tromperie du mal (!) parla:
«Ce Fond Terrestre de l’idole,
Le puceron de l’Astre colle
Non raisonnable aux PAROLES
Sans sa télépathie du sol!»
L'essence gère LEURS relations,
Perd l’inutile opposition
Et ce CONFLIT, où nous fixions
L’absence des compréhensions.
Suffisamment intelligent,
L’on deviendra. Le mot des gens
S’oubliera. L’esclave urgent
Sera l’un télépathe sergent.
Le fleuve de ses pensées profond
Est délicat à l’abstraction,
Où sans langage brille sa vision
À ses lectures vîtes des notions!
Le nom «divin», toi, parasite,
Dise pour dormir samedi. L’orbite
Tourne au tour de nous. Gravite,
Boule invisible, satellite.
L'éther bestiole n’est pas Satan.
Son existence, en orient,
Est calculé par dix mille ans
Influe sur leurs affaires, souvent.
Dieu nous jugeait pour nos actions.
Avec leurs chutes joue l’extension.
Au timbre, sa contradiction
A évité ses illusions.
Nous ment ta «vérité» binaire,
Touche ses croyances. Aux lumières,
Ni dieu, ni diable Lucifer,
Cet égrégore est par Homère,
A su dompter ses juifs rabbins,
Casse leur passé pré-égyptien,
Unit l’islam et les chrétiens:
L’Asie avec l’Europe sans bains.
Depuis ses «six époques» «créait»
L’odieux aux livres, à leurs prêts…
Au «jour septime» s’endort après
Ses duperies, fatigue… Duraient
Ses fraudes, longtemps S’appelle Adam
Vers l’aube des MENTERIES infâmes.
Sous Absolu réel, l’entame
Des hontes purifie les âmes.
Il y a nos treize milliards d’années,
Dieu a formé cette corde née.
L’enfer l’avait discriminé,
A élargi l’instantanée,
L’une milliardième. Dieu l’a sauvée.
Le diable crie: «L’annule! Je vais
Détruire partout!» Dieu l’entravait
De chaque nouveau présent gravé.
Quelqu’un vivait au loin Futur,
Lui rejetait son haute culture
Et au Moyen Âge renaît l’or dur,
Où décapite son aventure.
Plus tôt s’aggrave en quatre mille.
Après sa mort, l’erreur le pille.
La vie prochaine griffe ses périls
Par l’un croisade tué inutile.
Avec un musulman s’endort.
Jérusalem enterre deux torts.
Au Paradis, ils montent hors
L’espace, où tous s’approchent du bord
De notre Purgatoire salut
Des fous, aspirent vers Absolu.
Illimité t’a résolu
L’incohérence vermoulue.
Qu’au vingt unième preux siècle aillent
Ses nourrissons qu’ils se réveillent
Pour ne pas faire leur mal pareil
Qu’ils l’oubliaient au pire sommeil.
Lors l’homme rencontre son décès.
Mais l’égrégore va les lasser.
Seul l’un feu ouvre nos accès
À Dieu pour tout notre passé.
Poème posté le 23/08/20
par Kiriyatskiy