De Vienne à Brandebourg
par Claudel
par Claudel
Photo de Claudel (Couverture d’une partition de J. S. Bach)
Bref, il fut dans l’oubli
Presque dix décennies;
Eux, ils dansaient la gigue
De Berlin à Leipzig.
Puis on a découvert son art… son univers
Avec une passion digne d’une invention.
Écoutons un prélude
Un soir de quiétude,
Entendons une fugue
Au vent qui se conjugue.
Puis on a découvert son art… son univers
Avec grâce et amour de Vienne à Brandebourg.
Chantonnons une offrande
Comme une sarabande
Et chantons un choral
Vers l'horizon astral.
Puis on a découvert son art… son univers
Avec admiration pour ses variations.
Bach, tel un grand médoc,
A mené l’art baroque
Dans une apothéose
Louable et grandiose.
Ce poème est dans un recueil; pour voir les détails, allez sur ce lien :
www.edilivre.com/catalog/product/view/id/861497/s/romances-sans-notes-27b41710c1/category/1566/#.WcLlsIWcHIU
Tous droits réservés © Claude Lachapelle / mars 2017
Poème posté le 31/03/17
Poète
,
Illustrateur