Dresser le tableau
par Dynamot
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par Oxalys
Dresser le tableau
Passer le chemin des sans abris
Se dire après tout
que la vie s'égaille et se gagne
Inventer quelques salons de secours
quand le ciel est en feu
Coudre avec le vent
l'attente
et le retour des abeilles
Inventer la suite
et s'y calquer
Je sais que l'eau s'évapore après l'orage
Aller dans les allées du peintre
et se noyer dans les natures mortes
Incendier
ce qui n'est pas dit
Porter le deuil
et séjourner dans un coffre à jouets
Semer le doute
et le quantifier
Je sais que la mer hésite
et pourtant
se déchaîne après l'aveu
J'ai pardonné
les mots qui n'avaient plus de sources
et falsifié
l'or et le fer des pensées
Peser le pour
et la seconde
Écarter
les rideaux que le soleil a fané
Piquer dans les poches
et vivre avec ses proches
Ils sont la monnaie du sable
et croient que la mort
est une invention des vagues
Authentifier
l'odorat des souvenirs
Inventer la couleur du choix
quand le jour est invisible
Appeler
ceux qui n'ont pas su parler
quand j'écoutais
les battements de cœur
Occuper l'air
Je sais que l'horizon n'est qu’apparence
et l’achèvement des corps
Imaginer l'océan
sans fond
qui serait la volte face
et l'étendard de mes désirs
Alimenter
l'été
sans jamais quitter la nuit du regard
Escalader
les plaines millénaires
Effacer les collines et trouver l'envie d'écrire un sommet
Poème posté le 09/01/16
Informations mp3 : Musique de Edvard Grieg – Peer Gynt – Dans l’antre du roi de la montagne -
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Au balcon tout fleuri s'impatiente l'Amie
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La muse en quête... pour Oxalys interprête
Le vieux garçon
Maria Antoinette
Le ramoneur
Gymnopédie
Vous souvient-il, tendre cousine.?
Musulmanes
Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ?
Au hasard de mes pas
La colombe portait...
Sorcière
Un après-midi dans la maison de gershwin
Attirance amère
LXIII
Der Kaiser von China - L'empereur de Chine
Je ne saurai donc jamais....
Le Virtuose
Une femme m'a dit ceci
A ma Muse
J'attends
Et si tu me faisais un enfant...
Le canon de Pachelbel
Le sentier sous la neige
Retrouvailles
Sur la mort d'une rose
Le hamac
Sortie des eaux
A l'église (glose)
La muse au masculin
Ich fürchte mich so
Au fil de la Moldau
Adieux à la poésie
La nuit de Walpurgis
En promenade le Sentiment
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle
Réponse d’Hélène à Ronsard (à la façon Brassens et Corneille)
Confidence
Dresser le tableau
Rhénane
Où vont les poèmes perdus ?
La camarde a voulu…
Coquine promenade
Je veux chanter
La mort d’une libellule
Le son du canon
Mi guitarra
Nous vient le Soleil Couchant
Ne brûlez pas les feuilles mortes !
Tant que mes yeux pourront larmes épandre
Re : La muse au masculin
Le vieux cromorne
Matin en éveil
Ton air de Zeus!
Oreu-sivion 96 ou El kollfore çanfrais
Salut ô Salus !
La douleur du départ
Lorsque tu fermeras mes yeux....
La symphonie du Nouveau Monde
Le Rhin
Le gramophone tournait
Germination du poème
L'oeuf en plastique
Colère pour un sou perdu
Pantoum de sous les draps
Dans cent ans
Gésine
Dans l'attente ou sous la tente...
Les amours celés de Roméo et Juliette
Simplicité, bordel !
Le gâs qu’a mal tourné
Dans l'alcôve lovés....
Rêve claustral
Chacun vaque à ses affaires
Brise marine
La ballade du grand macabre
De l'amour
Heures sombres
Secret de rose
Le champ d’ naviots
Danse orientale
Il y a dans vos mots….
L'oeil d'un je
L'adieu d'une feuille à son arbre
Où est donc passé le printemps ?
Pour mieux viellir ensemble...
Le ruisseau chantant
Qu’un peu de moi perdure !
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