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ORIGINE DE TOUT NOTRE COSME
par Kiriyatskiy


par Kiriyatskiy


L’idée des mondes plus parfaits est préférée par Dieu, Leurs dix sept courtes dimensions sont connectées bien mieux Que trois métriques des maux cosmiques au temps pour être vieux Et l'on décède dans ce futur sans connexion des lieux. Car dans cinquante milliards tours d’années, viendra la mort, Vite se perdront nos molécules, il ne sera nul corps: Dont les distances entre eux vaincront le sens plus fort Des Trous Noirs qui se cacheront par nos derniers rapports. La perfection de leurs parties se trouve dans toutes les sphères Nos évidences se pratiquent dans chaque point pour les faire Cette paix réelle des contredits, tiennent une lumière sans guerres, Il est possible d’ajourner la fin de l’univers. Ses Trous Noirs n’ont aucune distance Entre nos particules fidèles, Qui ont, à l’ordre, la puissance De leur donner l’union partielle Avec ses mondes d’Absolu… Années, quatorze milliards! Dans L’une de ces sphères, aviez voulu Dire l’infini à un mutant De nul espace. Par aucun temps, La belle vitesse du haut salut A fait unir l’ordre présent Passé pour son prochain non lu. Nos galaxies sont temporelles, Elles naissent du minimum... L’enfance Du diable explosait leur ciel Aux six milliard d’années, aux chances: Avant cette explosion des rames pour notre crise d’espace, L’autre présent n’a nul passé, car il n’a rien qui passe, Où il n’existe pas danger de l'êtres qui menace À l’harmonie, là-bas sa place domine surtout en face. Alors dix sept mesures plus dures ont figuré le fond Plus grand que ce même univers dans son petit neutron… Ses opposés ne se battent pas, où tous ensembles n’ont Rien impossible de ce règne à nulle frontière du Bon. Milliard de fois, les quantités des forces dominaient Sur notre nombre de matières perdues par leurs années. À l’intérieur, tous nos atomes sont vides. Ceux-ci sont nés Sous l’énergie noire de nulle couche qui tente d’éloigner Ses électrons et nos protons. Par la faiblesse des formes, Les galaxies disparaîtront. L’obscurité énorme Fera éteindre nos étoiles Dans le futur. Leur but Élargira l’abîme spatial Qui nous approche des chutes, Où nos gravitations grosses luttent Que l’unité soit maximale. Son signe «minus» casse toutes leurs routes Qui le conduisent à l’un idéal Que notre astre dorme Des cinq milliards d’années au trône De l’homme. Encore, comme l’orme, Que se grandisse l’humaine personne. (Alexander Kiriyatskiy)

S'il vous plaît, regardez ma récitation de ce même poème et Youtube et marqez que ce genre philosophique vous a plu:

https://www.youtube.com/watch?v=XZdqBvIDDb4&list=PL1mB7wbPxvaPwj4WnU6pAB3dmDXVvc34o


Poème posté le 02/08/20 par Kiriyatskiy



 Poète ,
 Interprète
Kiriyatskiy



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