De la création de l’Univers
par Kiriyatskiy
par Kiriyatskiy
(29 - 30) Des Atlantes qui ont rapide quitté leur terre:
De la création de l’Univers
Hors nos temps, Tout de Dieu et l'enfer enchaîné
Y dormaient par dix-sept dimensions.
Lors la séparation a chassé leur but né
Pour produire la fin à l’explosion.
Tout ce monde naîtra moins que son Positron,
Où alors qu’il n’y avait nul malheur,
Dans un point, tous nos lieux sans concept d’autre «NON»
S’illustraient magnifiques ou meilleures.
Par les rythmes de l’infinité, chaque ficelle
Supérieure et égale collectait
Toutes ses formes sans fond et n’avait nulle partielle
Difficile à travers l’Unité.
Sa Puissance pouvait unifier tous les signes.
Dont, la couple du pas sans clarté
A jeté l’ombre charge hors chances divines:
Trois temps pour leur diversité,
Il n’est pas paradis infini de matière.
L’être rapidité dépassait
La lumière quatre fois, où grandit l’Univers,
Le présent rappelait son passé.
Un million deux cents mils en seconde, vitesse,
Tu as fait élargir l’extension,
Où ses points opposés s’approchent qu’ils disparaissent
À travers leurs annihilations.
Là se sont dissociés des pouvoirs primordiaux
Qui conduisent à la lutte cependant.
Sans divine harmonie, quittent leurs dons initiaux.
Par les larmes, séparent ses océans.
Toutes nos forces amènent à la source unique.
Microcosme d’abîme étendu,
Absolu a laissé l’île du filtre cosmique.
Au futur, l’inutile est fendu.
Dieu restait dans une seule milliardième de la masse
Explosée par le mal sous le temps.
S’élargie ce même cercle partout. Il nous chasse
Des morceaux qui construisent notre champ.
Mais la noire énergie a ouvert ses frontières
Qui conduisent à sa futilité,
Où les Trous Noires s’opposent aux places vides de l’enfer
Pour suspendre ce cosme voûté.
Chaque période de la vie éloignait nos grises morts
Des microns aux amas galactiques.
Les cadastres de branches dirigent leurs flux forts,
Et inventent une arme physique:
Les Neutrons lourds s'emboîtent à travers les Protons
Afin de formuler nous divers.
Entre nos centres et les orbites d’Électrons,
Les distances séparent l’Univers.
Entre les galaxies et dans tous les atomes
Par ce temps, la sphère creuse s'élargie.
Ses rapports trompent que pour leur offre nous sommes
Tout s’éloigne de cette noire énergie,
Où son feu qui embrasse le passage disparu,
Est vaincu à travers nos Trous Noirs,
Leur conscience invite toutes les âmes, où nos rues
Se souviennent par l’énorme mémoire.
Dans les Trous Noirs, il n’y a que des cordes sans fin,
Les images en raison de leurs notes.
Par nos treize dimensions s’ouvrent tous les chemins,
La lumière intérieure n’a nulle faute.
Contre les énergies noires, nous crée Absolu,
Sauve nos contradictions et remplace
Le passé restauré. Son futur est son glu
Entre tous nos objets en espace.
Poème posté le 20/11/20
par Kiriyatskiy