Le Feu du Ciel exerce une fascination étrange...
Quand l'Enfer n'est pas loin, je frôle toujours le Paradis.
Mais le diable a des ailes... Celles du désir.
Laissez-moi brûler l’enfer
Qui me nargue sur mon chemin
Dans mes ciel de traine à l’envers
Ses torches de vapeur en dessin
Laissez-moi respirer l’éther
Et conserver l’amour volatile
De nos souffles asphyxiés dans l’air
En bouche à bouche pulsatile
Laissons-nous encor respirer l’enfer
Rougeoyant nos yeux aux reflets déments
Laissons-nous toujours brûler l’éther
En corps à corps de nos embrasements