Il la vît de loin
D'un regard incertain
Une île aux milles parures
Reine sous un ciel d'azur
Voyageur égaré dans l'immensité
D'une mer rageuse, tumultueuse
Bousculé par les vagues agitées
Englouti par les eaux rieuses
Le corps transi, il échoue enfin
Sur la plage de l'île au sable fin
Châteaux de coquillages, une voix
Beau voyageur tu es ici chez toi
Il ouvre les yeux et oh! merveille
Splendide créature parée de perles
Prends ma main homme, mon éveil
Je jure à ton coeur bonheur éternel
Fin ..