S O R D I D E
par Christian111
par Christian111
Lass die Zeilchen
Den Weg zum Veilchen
Dir zeigen
Je grignotâmes
Entouré dieu,
Ou plutôt d'ailes,
dieu, il est allé ailleurs,
Vers les autres,
Ceux qui crûmes croirer,
Ceux qui coasserions,
Ceux qui croassâtes.
Je mangera,
Buvant des yeux
Des yeux orientaux
De velours obscur.
Elle portait un noir foulard,
Qui voilait sa chevelure,
Sa voisine était enrubannée
D'un fichu trop clair,
Presque trop translucide,
A l'instar de sa robe bleu ciel nitescent.
Elles dévoraient des frites huileuse,
Et des yeux, mes yeux fatigués...
J'allerai m'assoyer à côté d'El,
Mourir un peu,
Un peu seulement !
En cette nuit dorée,
Malgré une certaine sordide pénombre,
Je disa bonsoir
A tous les Arts Ris Vents
Qu'il m'était donné d'apercevoir
Et qui passaient
Engloutir un mort sot.
Je décideront
De partirer
Et de reviendrer
« Demain »...
Aux aurores orangées.
Rue Saint Nicolas à Nancy, le soir...
Poème posté le 12/06/11