La plus grande misère
par Flamme
Je ne peux regarder ce pauvre misérable,
J’ai envie de hurler devant ce triste chien.
Comment ne pas pleurer, il est pitoyable !
J'aimerais retrouver l’ordure, un moins que rien.
Mon cœur n’a qu’un désir celui de la vengeance,
Si je pouvais tenir, devant moi ces tyrans,
Je n’aurai qu’une idée, juger sans indulgence,
Qu’il finisse leurs jours dans d’infinis tourments.
Ses yeux plein de douleur, sa souffrance est la mienne.
Essayant de survivre en happant ce qu’il peut...
Je suis dans l’impuissance à aider cette chienne,
J’admire ces efforts, je me sens miséreux.
La personne qui tue, saccage la nature,
Torture l’innocent, est pour moi un vaurien !
Il paiera ses méfaits, c’est certain, je le jure,
Le mal disparaitra, seul régnera le Bien.
Poème posté le 27/12/14