Le poète est mort...
Tout seul comme toujours un vers a la main.
Le coeur rempli de vos maux, vous, assassins,
Bafoués par ses pairs, il n'aura plus de matin;
Vos outrages ont eu raison de ces chagrins.
Ces méprisants n'ont eu pour lui aucune pitié;
Proie de leurs jalousies, leurs mondes d'envies;
Lui qui ne rêver que de paix et de cette amitié;
Ces espoirs ainsi trahis, il s'est tu, puis détruit.
Le poète est mort...
Vous, ses bourreaux, votre éthique dépravée;
Cœur plus inspiré, l'encre a coulé sur le pavé.
Votre lave de vos rancoeurs, et vos calomnies;
Vos accusations infondées, ont eu raison de lui.
Lui, était notre aède, avec son chant mélodieux
L'horizon, son espoir fondé sur l'amour si pieux;
Il savait nous écrire ses mots si doux, sa passion;
Il est mort le poète, emporté par votre sale poison.