On ne nous tolère plus rien...
par Tonindulot
Je sens le vent souffler sur la petite braise
Qui sommeillait, sans bruit, pressentant la fournaise.
Ami ! Te voilà cuit car un mandat d’arrêt
Circule en fouillant tout, jusque dans la forêt.
Faut-il que je t’en parle ou bien que je me taise ?
Suis-moi, sans plus tarder, filons vite à l’anglaise
Pour quitter ce bourbier dont l’essence est de glaise.
Je pense avoir raison car de mon minaret
Je sens le vent souffler !
Tu t’es trompé de mots en surfant à ton aise
Et le peuple en émoi prend cela pour fadaise.
Peu m’importe le droit, car pour toi je suis prêt
A sauver ton honneur sans flonflon, sans apprêt.
Je confirme d’ici, du haut de la falaise
Je sens le vent souffler !
Poème posté le 02/10/18
par Tonindulot
Poète
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Armez vous de bons sens...
A l'heur du pastiche....
Sur une idée d'un autre voici mes vers ...
Au donneur de leçon...
Après avoir longtemps érré sur le rivage....
Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
En ma rase campagne...
Être enfin homme de poids...
La potée ne sale pas la marmitte...
Il est mort le soleil...
Que soit la joie....
Des pensionnaires académiques...
La fermière infirmière....
Sur le trottoir...
Ô muse infirmière donne moi l'onction...
Au film de la vie...
Ma femme et le succube...
Deux pour le prix d'un...
A toi qu'on dit étranger...
Le rat de marais...
Avoir un compte en cieux...
Prenez mon sac cadeau...
Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
Un printemps sans hirondelle...
Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
L'onirique vie sans appât...
Cousine ! prenez-moi...
La décadence en décas denses...
Ce temps me porte au nu...
Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
Pourquoi donc faire jeun..??
Ô soleil mi-haut....
J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
Être un Homme de lettre.....
Oeil pour oeil, vers pour vers....
Allez-vous faire voir ?
Le Pari est au vert....
Du temps de l'alpage...
L'affable peut toujours servir...
Les Rois-Mages bénissant les Mois-Rages
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A narcisse se voilant la face
Parlons peu, parlons bien...
Dites-moi, par bonté...
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L'âne v.s.l (en décas denses)
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Où es-tu donc passée..?
Prions donc ensemble...amie
Si le vent souffle rentre auprès du feu...
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