L'Elise de mon coeur
par Ouakaman
L'écart naît-il de ta peur
Ou des carnets de ta sœur ?
Les cornes de la mort
Renaissent encore et encore...
Mais les corps sèment nos cœurs perdus,
Et quand bien même tu t'écartèlerais,
Mon corps est tien,
Ton cœur, le mien,
Aucune écorce n'y résisterait
A tout jamais, je t'aimerais,
Même si la mort me l'empêchait.
Car au fond de mon corps,
Ton cœur battera encore...
Poème posté le 27/11/18
par Ouakaman