Oiseau des îles
par Ori
Regarde si prêt, si loin, si le cœur t’en dit,
Regarde les traces de ton beau silence,
Regarde ce flot, une si belle hémorragie,
Regarde mon sang évapore cette absence !
A toi, ma vie, mon cœur, bel oiseau des îles,
A ton sourire, qui si vite irradie,
A toi, grelottant dans le grand froid des villes,
A ton âme, qui porte l’esprit de la vie !
Bouleversante créature qui lévite,
Tes ailes papillons luisent, à tout jamais.
Argynne Aphrodite, aux yeux pépites,
Vole et virevolte, ho ma jolie fée !
L’éternité ne durera jamais assez,
Pour te prélasser dans tout ce brûlant amour,
Qui s’évapore de mon âme, si troublée,
Expression passion, de mon cœur de troubadour !
Poème posté le 07/12/18
par Ori