L'affable peut toujours servir...
par Tonindulot
Un peuple en mal, sans grand espoir,
Se demandait qui donc poursuivre.
Il décida soudain de voir
Qui serait attentif à son besoin de vivre.
Un gars, très haut placé, manquant de savoir-vivre
Le dauba si soudain, sans peur de décevoir,
Que l’autre, ému, prit pour son grade
Les envois de la mascarade.
Campant sitôt sur des ronds-points
Il y siégea montrant ses poings
Pour dire à tous que son salaire
Le privait, las, du nécessaire.
Bientôt, se rajoutant, enchérit une meute
Qui voulait en découdre en acteur thérapeute
Et brûla de ferveur un butin innocent
Hélas fautif d’être adjacent.
Où est cette bonne parole
Qui sait juger qui tient son rôle ?
Il s’en repère aux bons abris
Qui ne font pas sauts de cabris
Mais dont le port paraît si drôle.
Tous confinés, hélas, sur des plateaux télé
En exégètes font puis défont l’emmêlé.
Ce sont tous des instruits rompus aux pirouettes
Aimant le port des girouettes.
L’humble a du mal à les saisir
Sans éprouver du déplaisir.
« Pour tout savoir fouillons l’archive »
Dit un expert d’humeur passive.
Nous y verrons le grand Vizir.
C’est l’aile aisée qui fait la pluie et le tonnerre
Et les doux cieux sans pleur épargnant à la terre
La faim du Monde aigri se disant plein d’espoir.
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Ceci n'est qu'une œuvre de friction (bien entendu)
Poème posté le 18/12/18
par Tonindulot
Poète
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Aimer toute saison pour ce qu'elle est
Amours enfantines, marques éternelles
Ferraillez, mon Ami, sans plus vous courber
Que n'ai-je donc su plus tôt....
Délire ou psy chose en léonins
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Clerc de lune...
Je m'apprête pour l'automne...
Le sot fat sans fauteuil....
Les moissons sont finies...
Que jeunesse se passe....
Succombez donc aux éclats d'eau bue..
A toi poète de toujours....
A celui qui doute...
Gardons, mon ami, la force de gloser....
Pour mieux viellir ensemble...
Satyre à boulets rouges..
Ô Princesse en errance...
Parlons peu, parlons bien...
Difficile d'être en tête de l'art...
Le sens et l'assommoir...(2 rondeaux)
Je me suis trompêté de fable
Gardons surtout l'espoir...(rondeau)
L'écot du vigneron...
L'affable en galant bourg....
Le ciel au style d'hiver...(rondeau)
Un mec affable doit rester mec à fable
Je suis bien un berger
Fait d'hiver
Le Médoc peut soigner...
Un printemps sans hirondelle...
Au final, la coupe des vices....
Buvez ces quelques vers....
Dur de suivre le confinement
Ô toi ma douce Mie...
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Devenez professeur de l'être...
Ne pleure plus, ami fidèle...
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J'ai rangé mon violon...sans sonner
Les mots d'Est, dès le levant...
N'écrivez plus cela....
On ne nous tolère plus rien...
Pourquoi pas aujourd'hui ?.....
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