La flamme fatale
par Light Drifter
La flamme fatale
Tellement douce dans son giron
Je pourrais y passer toutes nuits
Parmi les braises et les brandons
Sur son cercle qui doux ne nuit
Mais pour les hommes de papier
Du beau brasier au musc humé
Qui vont des cendres au cendrier
Embrassés d'un baiser de fumée
Eux, qui de joie, feu consumés.
Poème posté le 04/02/19
par Light Drifter