Du lard des gens
par Ouakaman
Le vent souffle sur l'argent et meurt la planète
On la fuit tout seul
On la croit pour autrui
A courir après le gain, on perpétue l'ennui
Ainsi naissent les moutons,
Quand la mer se rebelle,
Des vagues résistent à la tempête, à son flux d’énergie
Nous ne sommes pas la houle mais bien la vie !
Nous ne sommes pas celle des autres, celle infinie,
Ni des marionnettes ou des dieux sans maitres ;
Nous sommes celle qui nous coupe du paraitre
et qui nous parle du " je suis "
Ni au singulier, ni au pluriel
Car nous sommes tous, les mêmes...
Si aimer nous anime,
C'est que l'âme est commune
Et qu'un rêve nous éveille, en brisant notre routine.
Comme une roue nous entraîne, vers une vie plus fine
Acceptons la peine de l'apprenti danseur,
Découvrant qu'il n'est ...
Que La Danse elle-même
Poème posté le 14/03/19
par Ouakaman