Passagers Clandestins
par Ombreblanche
Les nuits sont des échappées
Un même élan, un seul cri
Qu’importe encore la lumière
Quand tant de mondes se génèrent
De ce qui se tend, de ce qui plie
Des tourbillons de sons éphémères
Font naître des orages tremblants
Des étoiles explosives aux mœurs légères
Qui meurent deux à deux au couchant
Le ciel s’éveille sur un nouveau matin
Son seuil est si mince, à l’horizon
Et ensemble, nous nous y tenons
Nous, deux passagers clandestins
Poème posté le 18/04/19
par Ombreblanche