De cape et d'épée
par Ismael
Avec ma cape, j'ai levé l'épée pour la justice, je me suis dressé avec la verve de Cyrano et la moustache de Bovè.
Pas bien chancelé sur les talons, j'ai tourné...
"Désoler ma jante dame pour cette bousculade inappropriée, mais voyait vous-même le monde semble bivouaquer "
Vers l'avant, il esquive, je vise, du fourreau sort un langage bien cru, qui le crut que ma lame soit si saugrenue.
Brillant ex croissant et croiser toute la nuit nous avons à coups d'épée batailler.
Même les champs en chant nous on supplier d'arrêter.
Peut-être à la taverne, nous trouverons de quoi boire sans que nos honneurs en soient bafoués.
"Bien dit ! Les honneurs seront sauvés quand la coupe sera pleine".
En gentil homme couvert de méchanceté, je ne pus refuser et de nouveau en renouveau nous avons bus a nous étaler.
Parfois on peut passer de coup bas a coup d'éclat, de chevalier a cavalier de mousquetaire a testamentaire.
Mais que la poussiere ne vous mordre pas ,de combats a trèpa il n'y a qu'un pas, et de fantasme a veritè il n'y a qu'un clin,qui pour moi et souvent enclin a rêvasser.
Fan du genre.
Poème posté le 02/09/19
par Ismael