Dans la chaleur d'un été par une nuit
Ta sensualité a volé mon corps.
Transportée dans un conte de mille nuits,
Tes yeux posés sur moi ont jeté un sort.
Et dans cette parenthèse irréelle
Bercée par ta voix aux épices mortelles,
J'étais ta déesse d'un soir la plus belle,
Et le temps soudain est devenu cruel.
Ma raison ne peut atteindre mon état,
Seul un antidote puissant pourrait vaincre
L'envoûtement que subit avec fracas
Mon coeur enivré que tu as su convaincre.
A présent il me faut revenir sur terre,
Mettre fin à mon voyage de miel.
C'est un drôle de rêve, faut pas qu'j'espère.
On range tout pour retrouver le réel.
Promis c'est le dernier sur l'Inde !<br />
Le titre c'etait: Irréelle !!!!<br />
(Pourquoi ne peut-on pas corriger son titre?)