Urbaine félicité
par Ruben
La ville s’agite dans ses rues piétonnes,
Nos pas se mêlent à la foule autochtone…
Les terrasses bruissantes de conversations
Renvoient tous ces échos parmi le tourbillon…
J’aime à flâner sur les grandes avenues,
J’aime à rêver au milieu de la cohue…
La note tendre à l’heure méridienne
C’est ta main dans la mienne,
Ce baiser sur ma joue rapide et léger,
Léger et caressant comme une plume de geai,
C’est ce mot d’amour glissé à ton oreille,
Promesse charnelle à nulle autre pareille,
C’est mon souffle mêlé à ton haleine.
Côte à côte nous oublions la foule urbaine…
J’aime ces instants bienvenus,
J’aime te sentir à mon bras retenue…
Suspendus au silence qui nous habite,
J’entends très nettement ton cœur qui palpite.
Poème posté le 20/05/16